Résumé : | BBC , architectures bioclimatiques, éco construction, RT2012, maisons passives, habitats positifs, architecture autonome... Comment s'y retrouver ?
Aujourd'hui, la liste des concepts, labels, certifications est longue et participe à une forme de rhétorique difficilement classable ; nombre de formules, certaines plus ou moins "à la mode" coexistent et se bousculent pour qualifier des postures au sein de la problématique du développement durable.
Des questions se posent : Pourquoi le passif n'est-il pas aujourd'hui une réponse plus évidente ? Pourquoi ne construisons-nous pas passif dès maintenant ?
Le terme de prime abord n'est peut-être pas des plus séduisants mais, à y regarder de plus près, il renvoie de manière juste à l'acte de dé-consommer. Une architecture qui se dit passive c'est d'abord une enveloppe, ce long manteau qui nous permettra à l'avenir de nous y réfugier sans grand apport énergétique extérieur. Il faut en réalité réinterroger nos logiques.
Habiter une maison passive, un habitacle qui ne consomme presque pas d'énergie, n'est pas une contrainte : il s'agit simplement de ne pas se chauffer, d'habiter en brûlant moins de calories sans se priver de vivre confortablement.
Un rêve ? Non, une réalité déjà pour quelques heureux costermoricains dont les réalisations présentées dans cet ouvrage en témoignent.
Ce document présente 26 constructions passives costarmoricaines (maisons individuelles, logements, tertiaire, équipements. |